Théorie du troisième infini
Un nouveau modèle cosmologique
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Nouvelle rédaction des pages 3 et 7
Ce sont des raisonnements purement mathématiques qui m‘ont conduit à faire l’hypothèse de l’existence d’un univers physique E2 à 5 dimensions contenant notre univers E1, c'est-à-dire d'un au-delà physique débouchant sur un nouveau modèle cosmologique qui semble être très prometteur.
Le point de départ a été la découverte d’une interprétation géométrique des formules de Lorentz nécessitant l’existence d’un
espace à 4 dimensions contenant notre univers. Ensuite c'est la construction d'une algèbre de Clifford qui a fait germer l'idée que cet espace à 4 dimensions est en réalité la surface d’une boule d’un
espace à 5 dimensions, boule semblable à notre terre, avec des pôles,
des méridiens et une atmosphère dans laquelle se propage une onde
qui est notre univers.
La théorie que j’ai pu bâtir à partir de ces idées est sans doute très imparfaite (je ne suis qu'un simple autodidacte) mais elle s’est révélée être très féconde puisque :
- 1- Elle démontre que la vitesse de la lumière est bien une constante
- 2 - Elle démontre la formule de Louis de Broglie ;
- 3 - Elle prévoit, dans cet espace E2 à 5 dimensions, l'existence d'ondes infiniment plus rapides que la lumière, qui apportent un éclairage nouveau sur la physique quantique sans contredire le célèbre postulat "rien ne va plus vite que la lumière" qui ne s'applique qu'aux points matériels et aux particules ayant une masse
- 4 - Elle explique l'origine de l'energie qui a permis la création de notre univers;
- 5 - Elle explique l'origine de la gravitation ;
- 6 - Elle explique la déformation de l'espace-temps par la présence de matière;
- 7 - Elle fournit un calcul de la distance actuelle d'une source lumineuse éloignée à partir du seul décalage spectrlal z de la lumière reçue, ce qui permet de calculer la constante de Hubble Ho et de confirmer la valeur issue du CMB par Planck.
Le tableau suivant illustre mes calculs en indiquant, pour une source éloignée S et pour quelques valeurs du décalage spectral Z, l'âge ts de l'univers lors de l'émission par cette source S de la lumière reçue, sa distance actuelle d en Gal, la valeur correspondante H de la constante de Hubble,et la différence (H - Ho) en valeur absolue. Tous les calculs utilisent les valeurs 67.8 pour Ho et 13.8 pour to l'âge actuel de l'univers.
Z ts d H H-67.8
0.01 13.627 0.144 67.65 0.15
0.03 13.379 0.427 67.74 0.06
0.05 13.113 0.704 67.80 0.00
0.07 12.858 0.974 67.84 0.04
0.09 12.612 1.240 67.86 0.06
0.11 12.376 1.499 67.86 0.06
0.13 12.149 1.754 67.85 0.05
0.15 11.930 2.004 67.82 0.02
0.17 11.719 2.248 67.78 0.02
0.19 11.515 2.489 67.72 0.08
0.21 11.323 2.720 67.72 0.08
0.22 11.227 2.836 67.68 0.12
0.23 11.133 2.951 67.64 0.16
0.24 11.002 3.053 67.86 0.21
0.25 10.911 3.166 67.81 0.26
0.26 10.861 3.290 67.49 0.31
0.27 10.773 3.401 67.44 0.36
0.28 10.686 3.512 67.38 0.42
0.29 10.601 3.621 67.32 0.48
0.30 10.512 3.735 67.20 0.60
0.40 9.743 4.773 66.50 1.30
0.50 9.080 5.734 65.64 2.16
0.60 8.502 6.629 64.69 3.11
0.70 7.993 7.467 63.67 4.13
0.80 7.543 8.255 62.63 5.17
0.90 7.141 8.999 61.57 6.23
1.00 6.780 9.703 60.51 7.29
2.00 4.506 15.233 51.39 16.41
3.00 3.376 19.134 45.13 22.67
4.00 2.699 22.153 40.78 27.02
5.00 2.249 24.617 37.60 30.20
Ce tableau montre que, pour les distances d < 3 Gal, mon calcul attribue à Ho des valeurs H qui diffèrent de moins de 0.16 de la valeur 67.8 (soit 0.2 %). Ce résultat est excellent et donne une grande fiabilité à ce calcul.
Ce tableau montre aussi que :
- la constante de Hubble n'existe que pour les petites distances
(Z < 0.25)
- toute source lumineuse est observable à condition qu'elle soit suffisamment lumineuse et que l'instrument de détection soit suffisamment puissant : sa lumière nous parvient toujours - sauf incident de parcours - après un voyage de (to-ts) milliards d'années.
Ces résultats sont en complète contradiction avec le modèle standard de la cosmologie. Les très grosses difficultés rencontrées par les cosmologistes au sujet du calcul de la constante de Hubble obligent à douter de l'existence même de cette constante et donc des bases relativistes sur lesquelles repose le modèle standard. Peut-on faire confiance aux calculs d'un tel modèle ?
Pour une source S dont le décalage spectral Z est connu, la constante de Hubble n'est d'aucune utilité pour le calcul de sa distance actuelle d et de l'âge ts de l'univers lors de son émission de la lumière reçue actuellement dans les observatoires : il suffit d'appliquer les 3 formules indiquées à la fin de la page 15. Par exemple, on trouve :
Z ts (Ga) % âge univers
5 2.240 16%
10 1.221 9%
11.1 (GN-z11) 1.110 8%
13.2 (JADES-GS) 0.946 7%
15 0.840 6%
20 0.640 5%
25 0.517 4%
30 0.433 3%
35 0.373 3%
40 0.328 2%
Ces pourcentages sont plus importants que ceux fournis par le modèle standard, mais sont-ils assez importants pour apporter un début de solution au problème de la formation précoce des trous noirs supermassifs, problème découvert par le télescope James-Webb ?
Quelques commentaires :
- L'hébergeur utilisé ne possédant pas l'alphabet grec, certaines lettres grecques ont été remplacées par leur nom en toutes lettres.
- Pour le calcul des distances et des âges il est inutile de lire les pages 5, 6, 11, 12, et l'annexe A, dont l'objet est de démontrer que les formules élémentaires de la relativité restreinte ainsi que la formule de Louis de Broglie (lambda = h/mv) sont de simples conséquences des hypothèses de ma théorie.
- Le paragraphe (b) de la page 13 contient la clé qui permet d'arpenter l'univers dans son état actuel et le dessin de cette page rend évidente la constance de la vitesse de la lumière !
- La page 15 se termine par un vrai prodige : la possibilité de calculer la constante de Hubble à partir de l'âge de l'univers.
NB - Par suite d'une erreur de rédaction l'annexe A se trouve au début de l'annexe B.